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13 mai 2013

Jean Michel Jarre parle d'Oxygène aux Nuits Sonores 2012


Jean Michel Jarre est interviewé devant un parterre de journalistes et de spectateurs des Nuits Sonores (festival de musique électronique qui a lieu à Lyon) pour évoquer sa carrière. Dans cet extrait, il parle d'Oxygène et sa réception à l'époque. Un bout d'Oxygène 2 est diffusé.

11:48 Publié dans Interviews / Presse | | Tags : 2012 |  Facebook | | |

09 mai 2013

Marcus Miller, bassiste sur Zoolook

Marcus MillerMarcus Miller est un compositeur et bassiste de jazz fusion. Il est né à Brooklyn (États-Unis, New York) le 14 juin 1959.
Il se définit lui-même comme un bassiste « funk avec une immense connaissance du jazz » (North Sea Jazz Cruise, Patrick Savey).
Multi-instrumentiste, il joue d'abord de la clarinette avant de se consacrer particulièrement à la basse, et jouer aussi de la clarinette basse. Sa carrière décolle lors de ses fructueuses collaborations avec Miles Davis (en naîtra dans les années 1980 l'enregistrement Tutu). Il a travaillé sur l'album Zoolook de Jean Michel Jarre en 1984.
Techniquement, il se distingue par sa grande maîtrise des techniques complexes comme le slap.

(Article de Wikipédia)


Interrviewé sur Zoolook en 2013:
"D'un seul coup j'ai eu un coup de fil de ce mec français dont personne d'entre nous n'avait jamais entendu parlé. Il m'a dit qu'il était à New York et m'a demandé si je pouvais venir au studio où il travaillait. Et comme à cette période j'acceptais tous les travaux de studio que l'on me proposait, j'ai dit oui.
Jarre était très marrant dans le studio. On parlait de lui comme du français qui disait "Mother fuckeeeer", (rires). Il le disait avec un accent français. Je pense qu'il essayait de se rapprocher de nous.
J'ai jouées mes parties, il les a samplées et découpées. C'est ce qui est super avec des artistes comme Jean Michel et Bryan Ferry. Ils prennent ce que vous avez joué et ensuite le manipule pour en faire quelque chose de neuf. C'est très créatif. C'est entièrement basé sur mon jeu, donc ce n'est pas quelque chose qui sort juste d'une machine.
En plus de ça, je considère toujours Jean Michel comme un ami proche. C'est quelqu'un de formidable."

17:46 Publié dans Portraits de collaborateurs | | Tags : zoolook, new york |  Facebook | | |

08 mai 2013

Natacha Atlas, le chant du monde

Natacha AtlasNatacha Atlas (arabe : نتاشا أطلس), née à Schaerbeek (Bruxelles) le 20 mars 1964, est une chanteuse belge d'origine anglo-égyptienne, par son père et anglaise par sa mère. Fidèle à ses pairs égyptiens du Nubi-chaâbi et du Jeel (musique égyptienne), Natacha Atlas s'est fixé pour mission de rapprocher l'Orient et l'Occident sur le plan musical, en mêlant les musiques et les chants orientaux, classiques ou de variété, la chanson française, la pop et le rap. Cet éclectisme stylistique lui vaut d'être classée par l'industrie phonographique dans la catégorie des interprètes de « musiques du monde ».
Elle obtient ses premiers succès en tant que chanteuse de Transglobal Underground à partir de 1993 et sur l'album Rising above Bedlam (1991) de Jah Wobble. Dans les pays francophones, elle reçoit un solide soutien de la diaspora maghrébine à la recherche d'une musique à son image et plus largement d'un public occidental amoureux de sa musique métissée.
Forte de ce public, elle recevra en France une victoire de la musique pour son interprétation novatrice et l'orchestration orientalisée de la chanson Mon amie la rose (1999) de Cécile Caulier interprétée en 1964 par Françoise Hardy. Natacha Atlas interprètera à la télévision ce même titre en duo avec Francis Cabrel.
Sa chanson Gafsa est entendue 2 fois dans le film de Kim Ki-duk de 2004 intitulé Locataires.
Elle travaille avec le musicien, auteur-compositeur et arrangeur français André Manoukian.
En 2013, elle participe avec Samy Bishai à la musique du ballet "les Nuits" d' Angelin Preljocaj inspiré des contes des mille et une nuits dont la première mondiale a lieu le 29 avril 2013 à Aix-en-Provence. (article de Wikipedia)

00:35 Publié dans Portraits de collaborateurs | | Tags : métamorphoses, chansons |  Facebook | | |

07 mai 2013

Mark Fisher, scénographe

Mark fisherMark Fisher est un architecte et designer de scène britannique des plus infouents de notre époque. Il est né dans le Warwickshire , en Angleterre, en 1947.

Fisher est diplômé de l' Architectural Association School of Architecture (AA School) à Londres en 1971. Il était un maître de l'unité à l'AA School de 1973 à 1977. En 1984 il a créé le partenariat Fisher Park avec Jonathan Park. Le partenariat a été dissous en 1994 quand il a créé Stufish, le Mark Fisher Studio.

Fisher a conçu des décors pour Pink Floyd (y compris « The Wall »joué en live 1980 (avec Roger Waters et Gerald Scarfe) et « The Division Bell », 1994), pour les Rolling Stones (y compris l'acier Roues de 1989, Voodoo Lounge 1994 Bridges to Babylon 1997 et A Bigger Bang 2005), Mylene Farmer, Johnny Halliday, Tina Turner et U2 (y compris ZooTV 1992 , PopMart 1997 et 360° en 2009), la tournée MDNA de Madonna en 2012. En 2000, il a créé le Millennium Dome Show de Peter Gabriel . Il a conçu ouverture et de clôture des Jeux Olympiques (Turin 2006 et Beijing 2008) et les Jeux asiatiques (Jeux asiatiques 2010 ), et des décors pour spectacles théâtraux dont We Will Rock You, KÀ et Viva Elvis pour le Cirque du Soleil à Las Vegas. (article de Wikipedia)

Pour Jean Michel Jarre, Mark Fisher a travaillé sur Les concerts en Chine, Rendez-vous Houston (Etats-Unis), Destination Docklands (Londres), Les douze rêves du soleil (Le Caire) Tribute to Akropolis (Athènes).

00:55 Publié dans Portraits de collaborateurs | |  Facebook | | |

06 mai 2013

Roger "Bunny" Rizzitelli

Batteur(Article complet de Jérôme disponible sur En Attendant Jarre)
Jarre et Rizzitelli (et Dominique Perrier…) se rencontrent au début des années 70 au studio Ferber lors des séances studio des albums de Christophe (« Les paradis perdus », 1973, « Les mots bleus », 1974). JMJ est alors le parolier mais aussi un peu le producteur du chanteur. Il vient tous les jours au studio et sympathise avec les musiciens, dont Dominique et Bunny. Il « bricole déjà un peu les synthés »…

En 1981, quand le projet des concerts en Chine se concrétise, Jarre souhaite s’entourer de musiciens. Les problèmes techniques vécus en direct devant le million de personnes venu assister à son concert de la Concorde trois ans plus tôt l’ont définitivement guéri des performances en solo ! C’est tout naturellement qu’il fait appel à Perrier et Rizzitelli qu’il connait bien et qui ont, avec Space Art, une solide expérience de la musique électronique instrumentale. Rizzitelli a aussi l’avantage d’être un batteur qui adore les synthés, ce qui n’est pas habituel à l’époque !
(…)
Pour les 5 concerts en Chine (2 à Pékin les 21-22 Octobre 1981 puis 3 à Shanghaï les 26-27-29 Octobre 1981), Rizzitelli, lunettes noires, costard bleu Cerruti et nœud papillon, joue de la batterie éléctronique Simmons type SDS-5 (ou SDS-V) orange. Cette batterie, avec ses « pads » hexagonaux caractéristiques qui feront les beaux jours des années 80, vient de sortir. C’est Jarre qui a insisté pour utiliser cet instrument, probablement parce que plus proche de l’ambiance des « Chants magnétiques » qu’il vient de composer. Le concepteur de Simmons appelle régulièrement d’Angleterre pour se nourrir de l’expérience de la tournée. Côté interprétation, c’est Jarre qui donne « l’idée précise de ce qu’il veut » puis Bunny met en pratique ce que le compositeur a en tête. Le résultat est un jeu de batterie très présent, ce qui donne à la musique de Jarre une tonalité inhabituellement très rythmée. En particulier, la participation de Rizzitelli sur « Equinoxe IV » donne à cette nouvelle version une vraie originalité que Jarre appréciera.

Pour l’anecdote, lors du premier concert à Pékin, Bunny est le premier à monter sur scène. Il s’aperçoit qu’il n’a pas de « retour » ; il ne s’entend pas en direct dans une salle « grande comme quatre terrains de football » ! Malgré son avertissement, les techniciens ne le croient pas ; il insiste, et le retour est finalement branché « 3 secondes avant le début de son intervention » ! Ensuite, pendant le concert, l’électricité n’est pas régulière, les baisses de tension sont régulières, et les instruments de Bunny ne fonctionnent pas correctement. Pro, Rizzitelli ne se démonte pas et joue en tapant aussi fort qu’il le peut sur ses pads afin de se faire entendre ; d’après Perrier, « il frappait avec une telle rage, à cause de cette panne de courant, que le son était magnifique. »

11:50 Publié dans Portraits de collaborateurs | | Tags : les concerts en chine |  Facebook | | |