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30 juillet 2013

Article de The Irish Independent (20/03/2008)

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Article de "The Irish Independent" daté du 20 mars 2008, le lendemain des deux concerts à Dublin:

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Agréablement hypnotisé, en la compagnie de Jarre, compositeur vétéran de musique électronique



Jean Michel Jarre au National Concert Hall, Dublin / Jean Michel Jarre occupe une place particulière dans l’histoire de la musique électronique. Bien que parmi les compositeurs ayant rencontré le plus de succès commercial ces trente dernières années, il a néanmoins été oublié des annales de la musique électronique.
Alors que ses contemporains tels Kraftwerk ou Tangerine Dream sont considérés aujourd’hui comme des pionnniers, ayant repoussé les limites, Jarre tend à être dénigré en compositeur de musique d’ascenseurs. Peut-être que c’est parce que nous attendons de nos innovateurs qu’ils soient excentriques et torturés, et que Jarre, un aimable Parisien à la chevelure abondante à l’air curieux ne correspond pas vraiment au stéréotype.

Pour sa dernière tournée, Jarre, à l’affiche du National Concert Hall, revisite son album phare Oxygene.
Édité à l’origine en 1976, cet album est une suite de mélodies chaudes et dissonantes qui aborde vaguement le thème de l’environnementalisme. Pour éviter que le spectacle soit trop lisse et trop parfait, Jarre a emporté avec lui les synthétiseurs gargantuesques de l’époque.

Jarre pense que ces claviers antédiluviens sont les équivalents pour la musique électronique des violons de la Renaissance qui n’ont pas de prix. «Tout violoniste rêve aujourd’hui de jouer avec un violon vieux de 400 ans», dit-il au début du concert. «Pour moi, ces vieilles Dames ont la même importance. Sans eux, il n’y aurait pas de Jean Michel Jarre, la musique électronique n’existerait pas du tout.»
Pour quelqu’un si souvent affublé de l’étiquette «easy-listening», Jarre, dans son œuvre originelle, se montre étonnamment prolixe et sans doute aussi un peu impénétrable. Entouré de rangées de synthés et samplers, le musicien et son trio d’«assistants» se consacrent sur scène à combiner craquements, nappes de sons d’ambiance et vibrations de chants de baleines.
Accompagné d’un jeu de lumières élégant, l’effet cumulé est agréablement hypnotisant. Le charme est seulement rompu lorsque Jarre accélère le tempo et le pouls de l’audience, avec le groove éthéré d’«Oxygène IV».


Merci à Mocryft pour la traduction.

04 juin 2013

Dans les coulisses de la tournée anglaise 2010 de Jean michel Jarre

Korg pa-500


Article réalisé le 9/10/2010 à bord du bus de la tournée <2010> de Jean Michel Jarre. Le journaliste de Paris-Match a suivi le musicien sur la route de Manchester à Birmingham.

Douze heures. Le concert de la veille s’est bien passé. « A Londres, 15 000 personnes, 12 000 à Manchester, c’est du jamais-vu, s’extasie Jean Michel Jarre grimpant dans son bus. Connaissez-vous d’autres musiciens de chez nous qui attirent autant de monde ? » Mi-ironique, mi-déçu, le pape de l’électronique française est sur les routes depuis un mois pour présenter son « World Tour », soit 150 concerts autour du globe, qui passera par tous les continents. Ces quelques dates européennes lui servent de rodage.

13 heures. Le bus s’ébranle en direction de Birmingham. Jarre prépare son thé. Ce n’est pas un matinal, il a ouvert l’œil seulement deux heures plus tôt. Avec ses trois musiciens, ils refont le film de la veille. « Dominique* s’est complètement laissé aller. Je ne savais plus où j’en étais. » Pierre Garnier, son homme de confiance, lui fait part de quelques remarques. « Quand tu as évoqué la mémoire de ton père, toute la salle s’est tue. C’était très émouvant. » Maurice Jarre, avec qui Jean Michel a longtemps été fâché, est décédé en mars dernier pendant les répétitions. « Cela a complètement chamboulé mon emploi du temps et mon cerveau. Je ne m’y attendais pas vraiment, même si je savais qu’il ne serait pas éternel. Heureusement, nous étions réconciliés, grâce à ma femme. »

15 heures. Dans sa chambre, au premier étage du bus, noyée de rose et de rouge, Jarre s’isole pour travailler à son prochain album (+). «Je ne sais pas encore sous quelle forme cela sortira. Le CD a fait son temps, mais est-ce que je me contenterai d’Internet pour autant ? Je réfléchis. » Son Korg PA 500 ne le quitte jamais, « C'’est l’instrument avec lequel je compose le plus. Depuis toujours ».

17 heures. Le convoi arrive enfin à la salle où aura lieu le concert du soir. Pas le temps de passer à l’hôtel, il faut déjà se lancer dans les balances. « A Manchester, nous n’avons pu faire que vingt minutes de réglages. Cela accentue le stress. » Du coup, les musiciens prennent une bonne heure pour peaufiner les enchaînements ou les jeux de lumière. « J’ai envie de faire évoluer ce spectacle. Pour l’heure, je tâtonne encore. J’aimerais pouvoir interpréter des morceaux différents tous les soirs. C’est l’enjeu que je me suis fixé pour la tournée française [de 2010]. »

18h30. Dans sa loge, sobrement décorée, Jarre évoque ses projets. « J’ai envie que les concerts français soient complètement exceptionnels. Je n’ai pas fait ce genre de shows depuis des années en France. Alors que je suis reconnu dans le monde entier, j’ai un sentiment de manque avec mon propre pays. Je souhaite que tous ceux qui ont aimé la Concorde ou la Défense soient de ­nouveau éblouis. » Après un bref repas avec l’équipe, Jarre s’enferme un quart d’heure, le temps de se changer. « Je n’ai pas besoin d’une concentration maximale. Parfois, quand je monte sur scène, c’est comme si je grimpais sur un ring de boxe. J’ai encore des choses à prouver ! » dit-il en se servant une rasade de saké.

20h03. La salle remplie aux trois quarts est plongée dans le noir. Aussitôt un triangle de laser se dessine sur la scène, duquel sort Jarre. La foule frissonne...

22h10. Après avoir revisité tous ses classiques, et ressorti sa harpe laser du placard, Jarre revient pour interpréter «Oxygène IV*», le titre qui l’a rendu célèbre en 1976. ­Sautillant derrière ses claviers, il sourit comme un gamin. Qu’il ne cessera ­jamais d’être.

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14 mars 2013

Jarre dans Studio Gabriel (11/1994) avec clip Hong Kong


Jean Michel Jarre vient présenter son nouvel albm live, Hong Kong dans l'émission de Michel Drucker, Studio Gabriel. L'émission est diffusée le 28 novembre 1994. Avec comme acommpagnement Chronologie 6 (+), on peut voir les images des déambulations de Jarre dans la ville de Hong Kong et des images du concert en lui-même.

02 février 2013

Presse locale: Compte-rendu du concert de Monaco

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Article paru suite au concert géant donné sur le Port Hercule de Monaco à l'occasion du mariage d'Albert de Monaco et de Charlène Wittstock.

09 janvier 2013

Article du JDD sur la tournée 2010 (Mars 2010)

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Article sur la tournée allemande de <2010> dans le Journal du Dimanche.

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