Geiss Digisequencer (1993)

Le Geiss Digisequencer est un séquenceur numérique, successeur du légendaire Matrisequencer conçu par Michel Geiss et Jean-Claude Dubois en 1993. Le Digisequencer s’inspire de son prédécesseur en bénéficiant de la technologie d'Atari, puisque le cœur de la machine est un ordinateur 1040 revisité par Jean-Claude Dubois, pionnier du logiciel MIDI en France.

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Description

système de programmation temps réel graphique et tactile de séquences MIDI
résolution 1536ème de ronde
16 patterns de 8 pistes, jouables simultanément
pistes polyphoniques ou monophoniques
octave -2 ou +2, canal MIDI réglable pour chaque piste
quantification de la grille à la ronde, blanche, noire, double, triple, triolet de blanche, de noire , de croche, de double, de triple
chaque piste a son propre modèle de transposition. Mode réel et mode relatif
délai de -99 à +99 millisecondes
visualisation de la séquence en temps réel
clavier d’un Yamaha DX-100

Dessins des circuits et soudures par Patrick Pelamourgues. Conçu pour l'album Chronologie.

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Article rédigé par EquinoxeJMJ

RMI Harmonic Synthesizer (1975)

Marque: RMI (Rocky Mount Instruments inc, États-Unis)
Année: 1975
Type: Synthétiseur numérique à synthèse additive.

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Sons
Chorus d'Oxygène 4, la séquence d'Oxygène 5, les basses et séquences d'Oxygène 11

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Caractéristiques

Année : 1975
Marque : RMI (Rocky Mount Instruments inc.USA)
Machine : Synthétiseur harmonique
Type de synthèse : Oscillateurs controlés numériquement.
Principe de synthèse : Additive
Polyphonie : 10 voix
Oscillateur : 2 Oscillateurs digitaux
Filtre : Passe bas, passe bande, passe haut
Modulations : VCF enveloppe (sweep up, sweep down, time)

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Article rédigé par EquinoxeJMJ
Photo : Jarrography

Moog Liberation

Marque: Moog (États-Unis)
Année: 1980
Type: Synthétiseur analogique portable

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Description
Synthétiseur polyphonique doté de 61 notes et de deux VCO. Un Mini Moog à tenir comme une guitare.

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Article rédigé par EquinoxeJMJ

Elka Synthex (1985)

Ce synthétiseur de la marque italienne ELKA est sorti en 1985 au prix de 28.000 Francs

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Sons sur l'album Rendez-vous
- les gros sons de Rendez-Vous 2 (+)
- le son de la Harpe Laser de Rendez-Vous 3

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Descriptif
Clavier : 61 touches
Type de synthèse : Soustractive
Formes d'ondes : Sinus, dent de scie, carré et rectangle variable.
Polyphonie / Nombre de générateurs : 8 voix / 2 DCO
Multitimbralité : Non
LFO : 2 (Dents de scie ascendante et descendante, carré et sinus), avec retard
Enveloppe : 2 ADSR
Filtre(s) : PB (24 dB/Oct), PH (12 dB/Oct) ou Passe Bande (6 ou 12 dB/Oct)
Sons / Combis : 40 presets + 40 prog. / Non
Split : Oui
Affichage / Portamento : Un grand nombre de leds / Polyphonique + glissando
Joystick de pitch bend et de modulation
Effets : Chorus à 3 niveaux
Sorties audio : Mono et stéréo
Stockage externe : Cassette
Séquenceur : Monophonique (4 pistes de 128 notes chacune. Temps réel ou Pas à pas)
Poids et Dimensions : 13 kg, 110 x 45 x 15 cm
Autres caractéristiques : Modulateur en anneau. Bruit. Mode Double. PWM.

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Article rédigé par EquinoxeJMJ

RSF Kobol (1978)

Ruben et Serge Fernandez s'installent à Toulouse en 1975 et conçoivent des systèmes modulaires pour des amis musiciens. Ils créent RSF (de leurs initiales) quand la production prend davantage d'ampleur.
En 1978 naît le KOBOL version clavier dont le design extérieur est en partie conçu par Klaus Blasquiz (chanteur de Magma), les boiseries des premiers modèles sont réalisés par Michel Chavaria des guitares LAG et sont pourvus de boutons gris. Le Kobol tire son nom d’un petit personnage de la mythologie Allemande. RSF se positionne résolument comme un fabricant “haut de gamme” le Kobol très inspiré par le Minimoog (bien qu'avec 2 VCO au lieu de 3) est une réussite totale, le son fantastique séduit immédiatement les musiciens professionnels comme Jean Michel Jarre, Kate Bush, Vince Clarke, Bernard Szajner, Vangelis et Peter Gabriel qui viendra l’essayer après un concert donné à Toulouse en 1980.

Le kobol dispose d’une fonction très rare sur un synthé, on peut passer progressivement d’une forme d’onde à une autre, du “morphing” avant l’heure. Des mémoires, un séquenceur, des vco stables et un filtre très musical assurent le succès, mais imposer une nouvelle marque de synthétiseurs est très difficile face aux géants américains et japonais d’autant qu’il y a peu de revendeurs qui distribuent RSF en France pour causes de manque de confiance et de moyens promotionnels. Les ventes sont faibles mais vont prendre de l’ essor avec la série modulaire qui suit, et que Jean Michel Jarre va adopter pourvses Concerts en Chine, couplée avec le polyséquenceur MDB.

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Article extrait du site internet de RSF, société dont le nom a traversé les époques.