On peut penser ce qu’on veut de Jean-Michel Jarre, on ne pourra pas lui enlever ça : le producteur français a tout de même l’art de porter les musiques électroniques au-delà des frontières. Il aura été le premier, avec peut-être Kraftwerk, à avoir amené dès 1976 les musiques “synthétiques” dans les salons populaires français. Et ses 3,5 millions de spectateurs, à Moscou en 1997, venus voir un Français jouer une sorte d’ambient-pop analogique en touchant des lasers, restent toujours un record mondial. Entre autres faits d’armes. Lire la suite